L’hiver. Propulsés au large du fleuve Saint-Laurent. À bord, des silhouettes curieuses et obstinées. Émerge la cadence des rames du canot à glace, qui marque l’élan vers un territoire erratique, absolu, à la rencontre des sensibles communs. Une immersion sans compromis à travers la matière, qui nous confond par l’infiniment petit, à ce qui nous définit, nous unit, nous surpasse. Un parcours synesthésique par ce que nos corps traversent.
L’hiver. Propulsés au large du fleuve Saint-Laurent. À bord, des silhouettes curieuses et obstinées. Émerge la cadence des rames du canot à glace, qui marque l’élan vers un territoire erratique, absolu, à la rencontre des sensibles communs. Une immersion sans compromis à travers la matière, qui nous confond par l’infiniment petit, à ce qui nous définit, nous unit, nous surpasse. Un parcours synesthésique par ce que nos corps traversent.