Pallasstraße, quartier de Schöneberg, à Berlin. 2 000 organismes répartis dans 514 cellules d'habitation forment un récif corallien de béton et d'acier. Portrait d'une ville invisible.
Un inventaire ludique et combinatoire du complexe de bâtiments Pallasseum à Berlin qui esquisse la vision d'une coexistence imperturbable de mondes urbains. Cette barre de béton de douze étages, construite en 1977 d'après un projet de Jürgen Sawade, abrite 514 appartements et près de 2 000 personnes de différentes nationalités y vivent. Dans le langage populaire berlinois, le bâtiment a été diffamé dès le début en tant que "palais social". "Pallasseum - Unsichtbare Stadt" ("Ville invisible") tente d'approcher l'ensemble spatial et social sans en être affecté. La surface du tableau est divisée horizontalement en trois champs, l'écran apparaît comme un triptyque. Les séparations spatiales sont dépassées et s'assemblent pour former une esthétique cinématographique propre.
Pallasstraße, quartier de Schöneberg, à Berlin. 2 000 organismes répartis dans 514 cellules d'habitation forment un récif corallien de béton et d'acier. Portrait d'une ville invisible.
Un inventaire ludique et combinatoire du complexe de bâtiments Pallasseum à Berlin qui esquisse la vision d'une coexistence imperturbable de mondes urbains. Cette barre de béton de douze étages, construite en 1977 d'après un projet de Jürgen Sawade, abrite 514 appartements et près de 2 000 personnes de différentes nationalités y vivent. Dans le langage populaire berlinois, le bâtiment a été diffamé dès le début en tant que "palais social". "Pallasseum - Unsichtbare Stadt" ("Ville invisible") tente d'approcher l'ensemble spatial et social sans en être affecté. La surface du tableau est divisée horizontalement en trois champs, l'écran apparaît comme un triptyque. Les séparations spatiales sont dépassées et s'assemblent pour former une esthétique cinématographique propre.